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Jeu 13 Mar - 2:29 par Taliesin
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Le gibet de Troubleseaux
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Warhammer et Dark Heresy JDR | Principauté d'Etugello :: Section Rôle Play Warhammer : La Principauté d'Etugello :: Troubleseaux
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Le gibet de Troubleseaux
A l'extérieur de la cité, en direction des terres inexplorées, vous trouverez le gibet de Troubleseaux. Instauré par le Prince XxxxXxxxX, un sympathique petit tyran comme les Frontalières savent en faire, le gibet a la 2100ème âme de Troubleseaux attachée à l'une de ses cordes, dernier acte du précédent Prince.
Le gibet est constamment entouré de corbeaux et des rumeurs courent sur des actes démoniaques certains soirs. La garde y a été renforcée et jamais rien n'a été prouvé, mais qui sait, vous assisterez peut-être à l'une de ses réunions des cultes.
Sinon, un dernier conseil cher aventurier. Soyez bien sage ou il se pourrait que votre cou craque quand la trappe s'ouvrira sous vous.
Re: Le gibet de Troubleseaux
Naissance d'un Prince
Le lendemain, une foule immense était rassemblée devant le gibet de la cité. On allait y pendre l'assassin du bon Prince Etugello et d'aucun espérait assister à un joli spectacle. Umberto avait décidé de faire ça en grand, et on avait installé une roue. La pauvre victime allait donc être rouée puis pendue, comme-ci la pendaison en elle-même n'allait pas suffire.
Umberto apparu avec sa garde de piquier et tout le monde sut qui était le nouveau dirigeant de la cité. Pas besoin de grand discours pour les militaires, il suffit juste de montrer que l'on est le mieux armé. Un à un, avant l'exécution, les principaux conseillers de feu le précédent prince jurèrent fidélité à Umberto de Vagliari. Ceci fait, Umberto se déclara Imperator – ça fait toujours bien les titres pompeux – et il reçu l'acclamation de ses soldats, puis de la foule.
Puis, d'un geste, le "spectacle" commença. Un juge lut l'acte d'accusation et les aveux que l'assassin avait fait. Il reconnaissait avoir poignardé le Prince et n'avoir subi aucune pression pour faire ses aveux. La sentence fut rendue et le condamna à être roué puis pendu. Le bourreau se saisit alors de lui et l'attacha solidement à la roue. Méthodiquement, il brisa une à une les articulations de l'homme. Quand l'individu faisait mine de s'évanouir, un seau d'eau bien froide le ramenait dans le monde des vivants sous les viva de la foule. Finalement, une fois son corps complètement démantibulé, on lui passa la corde au cou. Le nœud était si mal ou bien, c'est selon, fait que l'agonie dura de très longues minutes, pour la plus grande joie d'une majeure partie de la foule. Justice était faite et le nouveau Prince avait assis son pouvoir sur cet acte de cruauté.
Le lendemain, une foule immense était rassemblée devant le gibet de la cité. On allait y pendre l'assassin du bon Prince Etugello et d'aucun espérait assister à un joli spectacle. Umberto avait décidé de faire ça en grand, et on avait installé une roue. La pauvre victime allait donc être rouée puis pendue, comme-ci la pendaison en elle-même n'allait pas suffire.
Umberto apparu avec sa garde de piquier et tout le monde sut qui était le nouveau dirigeant de la cité. Pas besoin de grand discours pour les militaires, il suffit juste de montrer que l'on est le mieux armé. Un à un, avant l'exécution, les principaux conseillers de feu le précédent prince jurèrent fidélité à Umberto de Vagliari. Ceci fait, Umberto se déclara Imperator – ça fait toujours bien les titres pompeux – et il reçu l'acclamation de ses soldats, puis de la foule.
Puis, d'un geste, le "spectacle" commença. Un juge lut l'acte d'accusation et les aveux que l'assassin avait fait. Il reconnaissait avoir poignardé le Prince et n'avoir subi aucune pression pour faire ses aveux. La sentence fut rendue et le condamna à être roué puis pendu. Le bourreau se saisit alors de lui et l'attacha solidement à la roue. Méthodiquement, il brisa une à une les articulations de l'homme. Quand l'individu faisait mine de s'évanouir, un seau d'eau bien froide le ramenait dans le monde des vivants sous les viva de la foule. Finalement, une fois son corps complètement démantibulé, on lui passa la corde au cou. Le nœud était si mal ou bien, c'est selon, fait que l'agonie dura de très longues minutes, pour la plus grande joie d'une majeure partie de la foule. Justice était faite et le nouveau Prince avait assis son pouvoir sur cet acte de cruauté.
Umberto de Vagliari- Messages : 4
Date d'inscription : 16/11/2008
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